Vigne, compost et boutures
Les travaux de la maison d'à coté sont finis pour l'extérieur, l'enduit a été posé sur le mur coté jardin et les ouvriers sont venus nettoyer les traces d'enduit au sol. Il faut maintenant raccrocher la vigne qui pendouille dans les cassis.
J'installe trois gros bambous qui nous restaient sur les bras après la mise en place des rames pour haricots.
Et avec Giacomo, on s'occupe de la rattacher, tant bien que mal, pour garder trois longs sarments horizontaux le long du mur.
Voila le résultat final. On affinera au mois d'avril lorsque les bourgeons éclateront et que les sarments de l'année pousseront.
Cet après midi, c'est opération compost. Comme c'est le moment d'épandre du compost sur le jardin, on commence par défricher la parcelle créée il y a quelques semaines et une des parcelles de tomates.
On rempli des sacs de compost semi-mûr.
Pour les déverser sur les parcelles concernées.
Du coup, on gagne de la place et on peut déplacer nos tas de compost.
Lorsque nous vidons le bac de remplissage dans le bac de maturation, surprise, on découvre une épluchure de pommes de terre qui a germées. La légende est donc vraie ! mais pour que cela marche, il faut que l'épluchure ait un peu de chair et surtout qu'il y ait un oeil. L'humidité et la chaleur ont été apportés par le compost en train de se faire.
Nous manquons de matiére sèche pour assainir le bac de maturation. Les filles de xavier se chargent de nous faire un beau tas de feuilles sèches armées de leur râteau.